L’Algérie entame un mandat de deux ans au Conseil de sécurité des Nations unies.
À l’Assemblée générale de l’ONU à New York, le 6 juin dernier, l’Algérie a obtenu un soutien massif avec 95% des voix, soit 184 pays sur 193, pour son statut de membre non permanent au Conseil de sécurité pour la période 2024-2025.
À partir du 1er janvier 2024, l’Algérie siégera aux côtés de la Sierra Leone, de la Corée du Sud, du Guyana et de la Slovénie, exerçant ses responsabilités jusqu’au 31 décembre 2025.
C’est la quatrième fois dans son histoire que l’Algérie occupe ce siège non permanent au Conseil de sécurité, après avoir déjà assumé cette fonction lors des mandats de 1968-1969, 1988-1989 et 2004-2005.
Parmi les priorités de l’Algérie au sein de cet organe central de l’ONU figurent le renforcement des solutions pacifiques, la consolidation des partenariats, le soutien aux organisations régionales, la promotion du rôle des femmes et des jeunes dans les processus de paix, ainsi que l’amélioration de l’efficacité de la lutte mondiale contre le terrorisme.